Publié le Dimanche 31 Mars 2013 à 13h53 par - Lu 2243 fois
IGN.com a récemment interviewé CM Punk, qui était présent pour faire la promotion de Wrestlemania 29, qui aura lieu le 7 avril prochain. Ci-dessous les grandes lignes de cette interview:
S'il est possible d'affronter The Undertaker à cette époque sans une forte chance de briser la série d'invincibilité:
"Est-ce quelqu'un pense vraiment que la série peut-être brisée ? La série est un accomplissement gigantesque, chacun pense ce qu'il veut sur la possibilité de fin de cette série, par conséquent elle ne devrait être jamais brisée. Mais une fois que la cloche sonne, je n'ai pas de patron et personne ne peut me dire quoi faire. Le mec qui mettra un terme à cette série sera une légende. Si je brise la série, je serais une légende. Donc, à moi de faire tout mon possible pour la briser."
La pression qu'il se met sur sa personne:
"Je n'attends que le meilleur de moi-même, ni plus ni moins. Je ne sais pas ce que tout le monde attend de ce match sachant que The Undertaker a passé un an en dehors des rings. Ou le fait qu'il n'y a pas de Hell in a Cell ou ce genre de stipulation, comme un No Disqualification, pour travailler avec. Mais j'aime quand on me restreint."
"Je semblais toujours trouver un moyen de faire match le meilleur match possible, étant donné des circonstances. Je ne pense pas que je peux penser: "Oh, cela devrait être meilleur que tous les autres matchs qu'a fait Undertaker." Pour moi, ce match sera ce qu'il doit être. Il y aura de la psychologie. Je ne me penche pas sur ces autres matchs. C'est un tout autre adversaire. Je l'énerve. Ce n'est pas juste "je vais briser ta série". J'essaie de le mettre à bout de nerf et je veux qu'il ait l'envie de me tuer. C'est donc un aspect totalement différent de ses précédent matchs à Wrestleania."
Si The Undertaker est son adversaire rêvé à Wrestlemania:
"Probablement pas. Pour être honnête, je dirais plutôt que c'est John Cena. Ou, bien sûr, Stone Cold Steve Austin. Il a toujours été celui que je répondais lorsqu'on me posait la question au fil des ans."