Dolph Ziggler parle de sa commotion cérébrale

Dans une interview donnée à The Carroll County Times, Dolph Ziggler est revenu sur ces dernières semaines marquées par sa commotion cérébrale qui a troublé son règne de champion poids-lourd qui a pris fin à Payback. Il parle aussi de ses rapports avec AJ Lee et Big E Langston.

Tout d'abord, parlons de vous en revenant sur votre récente commotion cérébrale. Était-ce la première que vous avez eue ?

Ouais, je veux dire, je pense que j'en ai eu une autre au collège, mais rien d'aussi mauvais dans ma vie.

Pouvez-vous décrire ce que vous vous souvenez de l'obtenir et les jours et les semaines qui suivent l'obtenir?

Oui, bien sûr. J'ai eu un mal de tête pendant deux pleines semaines après l'incident. J'ai été diagnostiqué avec une amnésie rétrograde qui signifiait que j'ai fini par perdre un jour et demi, deux jours de ma mémoire instantanément, même si lorsque l'incident s'est produit, il restait encore cinq minutes à faire et je suis allé jusqu'au bout en exécutant bien mes prises.

Pour vous personnellement, était-ce frustrant de ne pas pouvoir combattre peu de temps avoir remporté le titre mondial ?

Oui. Je ne peux pas imaginer quelque chose dans ma carrière qui a été pire que cela. J'ai eu la chance d'encaisser ma mallette Money in the Bank, devenir champion du monde poids lourd lors de cet incroyable "Monday Night Raw" avec cette foule qui était électrique et je ne sais pas si nous pourrons reproduire cela à nouveau, et de n'avoir disposé que d'une semaine ensuite à la télévision, d'avoir une commotion cérébrale, d'être absent pendant 5 semaines, d'avoir une défense de titre et de la perdre, je n'avais jamais été autant frustré de toute ma carrière à la WWE quand c'est arrivé.

Parlons de votre travail avec AJ et Big E Langston. Vous voyagez souvent ?

Oui, nous le faisons, mais pas tout le temps, mais de temps en temps nous voyageons tous les trois ensemble, et ça a été plutôt cool parce que AJ est aussi quelqu'un qui, depuis qu'elle était enfant, voulait faire cela - comme quand j'avais cinq ans, je voulais faire ça et je le fais maintenant - je crois que quand elle avait 8 ou 10 ans, elle a décidé qu'elle voulait faire cela et elle le fait. C'est donc ce qui nous réunit. Tous les deux, peut-être en dehors du travail, nous ne nous sommes jamais rentrés dedans ou dit un mot.