Dans cette vidéo, l’auteur aborde un constat sévère sur la All Elite Wrestling (AEW), affirmant qu’elle ne possède aucun talent véritablement “homegrown”, c’est-à-dire formé et développé en interne. Selon lui, tous les champions passés de la division masculine sont des lutteurs ayant une carrière antérieure à la WWE, ce qui soulève des questions sur la pérennité de la promotion. Bien qu’il reconnaisse quelques talents d’origine dans la division féminine, il insiste sur le fait qu’aucun d’entre eux n’a réellement brillamment percé. L’absence de lutteurs cultivés en interne est présentée comme une des raisons fondamentales de la situation actuelle de l’AEW, où la dépendance aux anciens lutteurs de la WWE pourrait mettre en péril l’avenir de la compagnie si elle ne développe pas de nouvelles stars. L’auteur plaide pour un changement stratégique, appelant à une mise en avant de talents émergents tels que Darby Allin et d’autres, afin d’assurer une relève solide et durable pour l’avenir de la fédération.
L’AEW, pour sa courte histoire, soulève un point de débat important : la question des talents “homegrown”, c’est-à-dire ceux qui ont été développés par la promotion elle-même. À ce jour, il semble qu’il n’y ait pas de véritables superstars issues de l’écurie AEW, ce qui pourrait avoir des répercussions sur son avenir. Cet article explore la situation actuelle des talents dans cette fédération.
Absence de talents développés en interne
La critique principale à l’égard de l’AEW est qu’elle n’a pas réussi à créer des stars à partir de son propre roster. Les championnats de l’AEW ont été dominés par d’anciens lutteurs de la WWE, tels que Chris Jericho, John Moxley et Cody Rhodes, qui, bien qu’ayant contribué à la reconnaissance de la ligue, ne peuvent pas être considérés comme des talents cultivés par l’AEW.
En effet, sur la liste des champions masculins de l’AEW, il est notable que la plupart proviennent d’autres promotions, et leur manque d’identité véritablement “AEW” pourrait nuire à la pérennité de l’entreprise. Même les quelques talents qui peuvent être considérés comme “homegrown”, comme Adam Page et MJF, semblent insuffisants pour garantir un avenir solide à la fédération.
La nécessité de développer des stars internes
Le manque de talents développés en interne est une faiblesse significative pour l’AEW. Alors que la WWE a réussi à créer des personnalités marquantes telles que Bianca Belair et Randy Orton, l’AEW est encore en quête de ses propres icônes. L’avenir de la promotion dépend de sa capacité à cultiver ses lutteurs et à transformer ces talents en vraies stars.
Un point de préoccupation majeur est que la dépendance à l’égard des anciens lutteurs de la WWE risque de créer une image de la promotion comme un refuge pour les vétérans plutôt qu’un tremplin pour la nouvelle génération. Cela soulève des questions quant à la direction dans laquelle l’AEW se dirige et à sa capacité à attirer et à retenir les jeunes talents.
Les conséquences d’un manque de croissance interne
Sans talents développés en interne, l’AEW pourrait se retrouver dans une situation difficile à long terme. Une génération entière de lutteurs pourrait se retirer, laissant un vide que l’organisation n’a pas réussi à combler. Cela pourrait entraîner une stagnation des audiences et une diminution de l’intérêt des fans pour la ligue.
Pour éviter une telle issue, il est impératif que l’AEW réévalue sa stratégie de recrutement et de développement des talents. En investissant dans des lutteurs qui peuvent évoluer et grandir au sein de l’organisation, l’AEW a la chance de bâtir un avenir plus prometteur, attirant ainsi un public plus large et assurant sa pérennité.
En conclusion, l’absence de talents “homegrown” dans l’AEW présente un défi significatif pour la promotion. Pour garantir une évolution solide et durable, il est essentiel que l’AEW mette l’accent sur le développement de ses propres stars et construise une identité forte, distincte de celles des autres promotions. L’avenir de l’entreprise dépend de cette capacité à croître de l’intérieur.