Un scandale secoue actuellement le monde du catch, suite à la publication par le New York Post d’un article contenant un long email écrit par Janel Grant à l’encontre de Vince McMahon, contre qui Grant a intenté un procès pour agression sexuelle et trafic.
Des accusations graves
L’avocat de Grant, Ann Callis, a réagi à la divulgation de cette lettre en déclarant que McMahon avait instruit Grant de l’écrire, cette dernière ayant été obtenue à partir de l’ordinateur de la cliente dans le cadre de l’enquête de la WWE sur les allégations contre l’ancien président de la WWE.
Il est vraiment révoltant que Vince cherche à défendre ses actes horribles avec autant de retard en mettant en avant des lettres qu’il a lui-même poussé Grant à écrire.
Des révélations choquantes
La torture psychologique de McMahon envers Grant se poursuit, ce qui est typique des prédateurs abusifs qui répondent aux femmes qui dénoncent en augmentant les menaces. Même si Janel est habituée à ses tactiques d’intimidation, cette nouvelle étape est un cap encore plus bas pour lui.
Callis a également souligné que la lettre comportait des passages plagiés, citant une phrase tirée textuellement du film de 1947 “L’Evêque de l’Empire”:
“Je me sens compris, accepté, aimé et apprécié pour ce que je suis au plus profond de moi. Tu vois mon cœur. Tu vois mon âme. Il y a peu de personnes qui connaissent le secret de faire un paradis ici sur terre. Tu es l’une de ces rares personnes.”
La défense de McMahon
L’avocate de McMahon, Jessica Taub Rosenberg de Kasowitz Benson Torres, maintient que l’email a été rédigé de plein gré par Grant, soulignant qu’il s’agissait du “brouillon 24” de la correspondance.
Source : www.wrestleview.com