Un regard critique sur les déclarations de PFL
Daniel Cormier remet en question les affirmations de la PFL selon lesquelles elle serait un “co-leader” dans le MMA. Selon lui, l’UFC est inégalé en termes de combattants, de production et de qualité. En se basant sur son expérience dans d’autres promotions, comme Strikeforce, il explique l’écart significatif entre l’UFC et les autres organisations.
Il répond aux déclarations du dirigeant de la PFL à propos de l’acquisition de Bellator, en soulignant la position centrale de l’UFC dans le paysage du MMA et en mettant en doute le statut de co-leader revendiqué par la PFL.
Désaccord avec les affirmations de la PFL
Daniel Cormier reste sceptique quant à l’idée de devenir “co-leader” dans le MMA. Il soutient fermement que l’UFC demeure la référence et annonce qu’il est peu probable que cela change. Il nie l’idée d’être un “homme de la compagnie” et réaffirme que l’UFC a une longueur d’avance irréfutable dans le domaine, notamment en ce qui concerne la qualité de ses combattants et sa production.
Il rejette les affirmations de Donn Davis en expliquant que les chiffres de fréquentation, les recettes de billetterie ou les ventes de PPV ne plaçaient aucune autre promotion au même niveau que l’UFC.
Reconnaissance du talent des combattants de la PFL et de Bellator
Daniel Cormier reconnaît le talent des combattants des organisations PFL et Bellator et admet que ceux-ci excellent dans leurs domaines. Cependant, il souligne que l’environnement compétitif dans ces organisations ne rivalise pas avec le niveau trouvé à l’UFC.
Il souligne que les champions actuels de Bellator sont peut-être les meilleurs de l’histoire de cette organisation, mais que cela ne change en rien le fait que l’UFC se situe à un niveau supérieur en termes de concurrence globale.
Source : www.thesportster.com