Dans cette vidéo, Jim Cornette analyse un segment clé de l’émission AEW Dynamite, à savoir la signature du contrat entre Chris Jericho et Tomohiro Ishii. Il critique le déroulement de ce moment, soulignant à quel point il était mal exécuté et maladroit. Cornette évoque les transitions entre les segments de l’émission, notant que le ton et le rythme changent constamment, ce qui crée une incohérence gênante.
Au cours de la signature, Jericho, affichant un sourire figé, refuse de signer le contrat, prétextant qu’il doit le montrer à son avocat. La séquence est marquée par des moments comiques involontaires, notamment lorsque Jericho essaie d’échapper à Ishii en se déplaçant maladroitement dans les coulisses. Cornette fait remarquer que la mise en scène semble artificielle, comparant la tentative de créer du suspense à des productions de la WWE, tout en déplorant le manque d’engagement émotionnel du public.
Finalement, après une série de mésaventures comiques, Ishii parvient à signer le contrat après avoir assené un coup brutal à Jericho, mais Cornette conclut que toute cette spectacle ne fait qu’accentuer l’absurdité de la situation, laissant le public perplexe face à cette présentation peu convaincante.
Dans cet article, nous allons explorer le contrat signé par Chris Jericho et Tomohiro Ishii lors de l’épisode d’AEW Dynamite. La signature de contrat, un moment fort dans le monde du catch, a suscité divers sentiments de la part des fans et des analystes. Analysons cette séquence qui a fait beaucoup parler.
Analyse de la Signature de Contrat
La scène commence avec Renee Moxley qui introduit la signature de contrat entre Jericho et Ishii. Malgré le climat tendu qui existe autour de l’épisode précédent, cette séquence se déroule dans un ton qui semble déconnecté des événements récents. Jericho, avec une expression de faux sourire, s’apprête à signer, mais refuse de le faire, prétendant qu’il souhaite d’abord consulter son avocat.
Ce moment est palpable et, ajoutons-le, très peu convaincant. La tentative de AEW de créer une tension dramatique ne parvient pas à captiver le public, ce qui soulève des questions sur la cohérence narrative de l’épisode. Au lieu de cela, le ton devient rapidement bizarre et maladroit.
Le Suivi de la Séquence
Au fur et à mesure que la scène progresse, Ishii s’engage dans une sorte de poursuite derrière Jericho. Ce dernier, visiblement nerveux, tente d’échapper à son adversaire tout en emportant le contrat avec lui. Cependant, les choix cinématographiques utilisés lors de cette scène semblent peu inspirés et apportent une touche d’amateurisme à l’ensemble.
La séquence ne parvient pas à établir une vraie tension, car Jericho, malgré ses tentatives d’évasion, semble plus intéressé par la mise en scène que par le combat. La lenteur du rythme et les stéréotypes de poursuite ajoutent à la confusion, laissant les spectateurs perplexes quant à l’issue de cet affrontement.
Climax de la Scène de la Signature
Alors que Jericho continue de tergiverser, il évoque l’absence de stylo pour signer le contrat, moment qui aurait pu être humoristique, mais qui tombe à plat. Ishii, impatient, finit par le contraindre à signer. C’est à ce moment que Big Bill et Brian Keith interviennent, attaquant Ishii sans que cela ne suscite beaucoup d’engouement chez le public.
Cette attaque, qui aurait pu être le point culminant de cette séquence, ne provoque aucune réaction significative, rendant la situation encore plus étrange. Malgré l’intervention d’autres lutteurs qui viennent prêter main-forte, l’ensemble de la scène semble manquer de rythme. En fin de compte, Ishii réussit à porter un brain buster à Jericho, mais la somme des éléments présents donne une impression de désorganisation.
Conclusion
En résumé, bien que la signature du contrat entre Chris Jericho et Tomohiro Ishii ait toutes les caractéristiques d’un événement marquant dans le monde du catch, la réalisation et la construction narrative offrent un résultat décevant. Cette séquence illustre les défis que AEW rencontre pour maintenir une cohérence et un engagement émotionnel auprès de son public, et soulève des interrogations sur la direction créative de la compagnie.