Découvrez l’histoire captivante et inspirante de Kurt Angle dans “ANGLE”, un documentaire disponible en streaming sur Peacock à partir du 2 septembre. Suivez le parcours de ce célèbre catcheur, médaillé d’or olympique et ancien lutteur des Clarion Golden Eagles, à travers ce film fascinant.
Un parcours hors du commun
« Quand j’étais plus jeune, Kurt était mon Superstar préféré de la WWE » déclare le réalisateur Alex Perry. Son intérêt pour l’histoire de Kurt Angle a été suscité par la découverte que le personnage de la WWE était basé sur sa véritable histoire de ses années avant d’intégrer cette fédération. Notamment, sa victoire d’une médaille d’or malgré une fracture au cou. Une histoire qui promet d’être riche en émotions et en rebondissements.
Une amitié qui se transforme en projet
Après avoir réalisé une vidéo comique avec Kurt Angle en 2012 intitulée “Olympic Trials with Kurt Angle” pour Funny or Die, Perry et Angle ont développé une amitié qui les a menés à entreprendre ce documentaire ensemble. Le film a été produit de manière indépendante plus de deux ans avant d’être acquis par la WWE et Peacock. Il s’agit également du premier long métrage réalisé par Perry. Ross Dinerstein, dont la société produit plusieurs documentaires par an, est le producteur du film.
Les années avant la WWE
Contrairement aux précédents travaux sur Angle, ce film se concentre davantage sur ses années avant la WWE, en mettant particulièrement l’accent sur sa victoire en or olympique en 1996 et sur son parcours en tant que lutteur pour Clarion. Le documentaire comprend des interviews d’Angle, de Dwayne Johnson, de Rhonda Rousey et de Bob Bubb, l’entraîneur en chef des Golden Eagles de Clarion depuis 26 ans, qui a coaché Angle lors de ses deux victoires aux championnats de la NCAA en 1990 et 1992.
L’exemple de la résilience
La vie entière de Kurt Angle est une démonstration de résilience et de la capacité à surmonter la douleur. Qu’il s’agisse de douleur physique causée par ses multiples fractures, de douleur mentale due à sa lutte contre la dépendance aux opioïdes (il prenait 65 Vicodin par jour à son apogée) ou de douleur émotionnelle causée par de multiples tragédies familiales, Perry affirme que son exemple est extraordinairement digne d’un documentaire. Il espère que son histoire inspirera de nombreuses personnes pendant de nombreuses années à venir.
Source : www.pennwest.edu