Dans le monde du catch professionnel, les superstars qui occupent les cimes, telles que Brock Lesnar, Roman Reigns et John Cena, sont souvent celles qui captent le plus l’attention. Cependant, il est surprenant de constater que de nombreux lutteurs évoluant dans la catégorie intermédiaire, parfois moins en vue, ont réussi à accumuler des fortunes considérables, dépassant même celles de certaines célébrités du main-event. Cet article examine comment ces mid-carders ont su transformer leur succès en dehors du ring en une richesse impressionnante.
Les Mid-Carders Plus Riches Que les Superstars du WWE
The Miz : Roi des Mid-Card et du Succès Financier
The Miz est un exemple emblématique de ce phénomène. Avec de multiples titres de mid-card, notamment le Championnat Intercontinental, il a bâti sa réputation dans la WWE. Cependant, sa véritable réussite financière provient de ses activités commerciales en dehors du ring. Le succès de son émission de télé-réalité *Miz & Mrs.*, qu’il co-anime avec sa femme Maryse, a considérablement contribué à sa fortune. Estimée à 20 millions de dollars en 2024, la valeur nette de Miz le place parmi les meilleurs gagnants de la WWE.
Dolph Ziggler : Succès dans l’Humour et le Stand-Up
Dolph Ziggler, autre lutteur établi de la WWE, est souvent perçu comme un mid-carder permanent. Bien qu’il ait remporté le Championnat du Monde Poids Lourd, la majorité de sa carrière s’est déroulée dans le cadre des Championnats Intercontinental et États-Unis. Outre sa carrière de lutteur, Ziggler a également rencontré le succès dans le stand-up, ce qui lui a permis d’augmenter considérablement ses revenus. Avec une valeur nette d’environ 3 millions de dollars, ses performances comiques lui ont permis de surpasser certains des top stars réguliers.
Zack Ryder : De l’Utilisation des Réseaux Sociaux à la Liberté Financière
Zack Ryder, connu aujourd’hui sous son vrai nom Matt Cardona, a su tirer pleinement parti des réseaux sociaux pour se forger une carrière. En utilisant créativement ces plateformes, Ryder a bâti une base de fans fidélisée dans les années 2010. Son succès viral avec sa série en ligne *Z! True Long Island Story* lui a ouvert des portes pour des partenariats commerciaux. Sa nécéssité de diversifier ses activités après son passage à la WWE lui a permis d’atteindre une valeur nette estimée à 2 millions de dollars.
R-Truth : Un Pilier du Mid-Card Avec Des Gains Considérables
Bien que R-Truth ne figure pas parmi les lutteurs les mieux rémunérés de la WWE, sa longévité dans le mid-card a été essentielle à sa stabilité financière. Apprécié par les fans pour ses segments humoristiques, il est devenu un multiple champion 24/7. En outre, ses incursions dans la musique et la télévision ont enrichi sa carrière. Sa valeur nette, atteignant près de 3 millions de dollars, témoigne de l’importance de la continuité dans ce milieu.
Goldust : Longévité et Art de la Réinvention
Dustin Rhodes, mieux connu sous le nom de Goldust, démontre qu’un mid-carder peut également connaître un grand succès. Bien qu’il n’ait pas atteint les sommets du main event, son habileté à rester pertinent au fil des décennies et à maîtriser l’art du personnage a marqué son passage dans l’histoire de la lutte. Sa durée de carrière et ses engagements en dehors de la WWE, notamment dans d’autres promotions comme l’AEW, se traduisent par une valeur nette estimée à 3 millions de dollars. Son habilité à renouveler son personnage tout en préservant l’héritage de la lutte en fait un exemple admirable de réussite financière et professionnelle.
Les lutteurs de la WWE occupant le mid-card ne doivent pas être sous-estimés. Leur capacité à utiliser des plateformes alternatives et à diversifier leurs activités hors du ring les a propulsés vers des sommets financiers, défiant les notions traditionnelles de la célébrité dans le catch. Cette évolution illustre que le succès dans le monde de la lutte ne se résume pas uniquement aux performances au sommet, mais aussi à la manière dont les lutteurs manœuvrent leur carrière au-delà des cordes du ring.
Source : timesofindia.indiatimes.com