Une ancienne star de la WWECW réclame son dû : des tacos, du cannabis et de la vodka !

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Par David Marques

Dans le monde du catch professionnel, les anecdotes et les histoires autour des lutteurs ne manquent pas. Récemment, un ancien membre de la WWE a partagé une situation inattendue, mettant en lumière des problèmes de paiement liés à sa carrière. Cet article examine cette affaire, qui illustre les complications financières parfois rencontrées par les athlètes.

Une dette apparemment oubliée

Shelly Martinez, connue des fans de la WWE sous le nom d’Ariel, a été relâchée de l’entreprise en 2007, après une confrontation avec l’illustre Dave Batista. Avant son départ, elle avait même été scannée pour un jeu vidéo de la WWE de cette année-là, mais n’a finalement pas été incluse dans la version finale. Plus tard, elle a découvert qu’elle devait recevoir un paiement de la part de la WWE.

Une somme dérisoire, mais symbolique

Dans ses révélations, Martinez a expliqué qu’elle avait reçu un courrier d’un avocat de la WWE, indiquant que la société lui devait une somme d’argent. Bien que le montant soit inférieur à cent dollars, elle a ressenti le besoin de faire valoir ses droits. Elle a mentionné avoir suivi les instructions concernant le paiement, mais sans succès. Malgré l’importance modeste de cette somme, elle a souligné son désir de récupérer cet argent pour des plaisirs simples tels que des tacos, du cannabis et de la vodka.

Contextualisation et répercussions

Martinez a passé une bonne partie de son temps à la WWE en tant que manager du vampire Kevin Thorne. Leur relation était compliquée durant leur collaboration, mais ils ont depuis réparé leurs liens. Cet épisode révèle également comment les lutteurs, une fois partis, peuvent se retrouver dans des situations délicates avec leur ancien employeur. La quête pour obtenir des paiements dus, même minimes, souligne les défis financiers que certains athlètes rencontrent, laissant planer des questions sur la gestion des ex-lutteurs au sein de l’organisation.

En conclusion, cette affaire met en lumière un aspect souvent négligé de la carrière des catchers, à savoir le suivi des droits financiers et la gestion des relations avec l’employeur après un départ. Les lutteurs méritent une reconnaissance et une transparence dans leurs interactions contractuelles, indépendamment de la taille des sommes en jeu.

Source : www.wrestlinginc.com