Le catch a toujours fasciné les fans grâce à ses récits de lutteurs légendaires et aux expériences singulières vécues par ces artistes sur le ring. L’une des figures emblématiques du catch, WWE Hall of Famer, a partagé son expérience concernant son séjour au Japon. Cet article explore les raisons pour lesquelles il n’a pas apprécié son temps dans ce pays, malgré des victoires en tant que lutteur.
Une expérience mitigée au Japon
Lors de son passage au Japon, le lutteur, alors connu sous le nom de The Soultaker, a été confronté à un choc culturel significatif. Dans les années 80 et 90, le Japon avait une perception très stricte des tatouages, souvent associés aux Yakuza, la mafia japonaise. Cette association a eu un impact direct sur sa capacité à profiter de certaines installations et lieux.
Il a déclaré que certains espaces, comme les bains publics, leur étaient interdits en raison de leurs tatouages. Les restrictions étaient telles que les lutteurs tatoués se retrouvaient souvent exclus de nombreux endroits, ce qui limitait leurs interactions et leur expérience au Japon. Ils faisaient face à des jugements rapides qui les considéraient comme des membres de la mafia, ce qui a conduit à une expérience négative.
Un environnement hostile pour les tatoués
La culture japonaise à l’époque ne facilitait pas la vie des étrangers tatoués. Les lutteurs du circuit américain, notamment Bam Bam Bigelow et d’autres, ont rencontré les mêmes difficultés. Leurs tatouages semblaient être un frein à leur intégration dans la société japonaise, rendant leur séjour particulièrement difficile.
Cette stigmatisation liée aux tatouages a influencé le ressenti du lutteur qui a déclaré ne pas avoir de « bonnes histoires » à raconter sur son expérience au Japon. Les lutteurs ont dû naviguer à travers un environnement où leurs choix esthétiques devenaient une barrière sociale.
Les souvenirs du passé
Malgré ces difficultés, il est intéressant de noter que cette période a également été celle où il a combat avec Mark “The Undertaker” Calaway en tant que tag team. Un souvenir partagé montre comment leurs luttes initiales ont finalement mené à une amitié durable, même si les premiers matchs n’ont pas été à la hauteur des attentes.
Cette expérience au Japon, bien que marquée par des défis, a contribué à forger leur identité sur le ring et à créer des liens qui durent encore aujourd’hui. Cependant, le contraste entre les victoires sur le ring et les expériences sociales témoigne des réalités complexes auxquelles font face les lutteurs lorsqu’ils voyagent à l’étranger.
En conclusion, bien que le catch au Japon ait pu offrir des victoires appréciables, il est clair que le choc culturel et la perception des tatouages ont largement conditionné l’expérience d’un lutteur emblématique, rendant ce chapitre de sa carrière moins mémorable que souhaité.
Source : www.wrestlinginc.com