Curtis Axel parle de son héritage

Curtis Axel, l'actuel champion intercontinental de la WWE, a accordé une interview au site canadien Slam Sports. Ci-dessous les grandes lignes de cette interview:

Sa victoire qui lui a permis de s'emparer du titre intercontinental à Payback:

"Remporter la ceinture intercontinentale était incroyable. Fandango était supposé être dans le match mais il s'est blessé et je l'ai remplacé. La semaine précédant le pay-per-view, je pensais que cela pourrait être génial de devenir le premier duo de champions intercontinentaux avec mon père, cette ceinture que mon père a rendu célèbre. J'ai ressenti des émotions que je ne peux expliquer."

Sa nouvelle gimmick accentue le fait qu'il est le fils de Curt Hennig et le petit-fils de Larry Hennig. Est-ce de la pression en plus pour lui ?

"Ce n'est pas vraiment de la pression. Premièrement, à chaque fois qu'un catcheur de seconde ou troisième génération arrive à la WWE, il y a toujours un peu de pression car vous représentez votre famille. Je n'ai pas plus de pression aujourd'hui que lorsque j'ai débuté sous le nom de Michael McGillicutty. À l'époque, je devais faire mes preuves. Maintenant que mon talent est reconnu, je suis capable de me prouver, donc le nom n'ajoute aucune pression. Je fais mon boulot et je fais tout mon possible."

Les conseils qu'il a pu avoir de son père et qu'il a de son grand-père:

"Le meilleur conseil qu'a pu me donner mon père est que ce business n'est pas facile, qu'il faut travailler dur. Il m'a bien fait comprendre que ce n'était pas fait pour tout le monde, mais si je voulais tenter ma chance, il fallait y aller à fond. Si cela marche, tant mieux, si cela ne marche pas, c'est que cela ne marchera pas."

"Je parle à mon grand-père deux fois par an. C'est mon plus grand supporter mais également mon plus grand critique. Il est de la vieille école, il avait un style de catch rude, agressif. Il me donne beaucoup de conseils. À moi de m'en servir ou pas. C'est une époque totalement différente. Mais j'adore lui parler."

Quel catcheur de la génération de son père aurait-il aimer affronter ?

"Arn Anderson. J'ai eu la chance d'avoir une discussion avec lui il y a longtemps et c'est quelqu'un d'incroyable. Rick Rude également. C'était l'un de mes favoris quand j'étais petit. Tous les amis de mon père en fait. Ce sont les gens avec qui j'ai grandi. Arn, Rude, les Nasty Boys (Brian Knobbs et Jerry Sags), The Big Bossman."